Municipales à Ogou1/Une campagne en mode « retrouvailles familiales » scelle l’adhésion des populations d’Adjéréké1, Foukotè et Lodji à la continuité

La campagne électorale dans la commune Ogou 1 prend une tournure singulière, teintée d’une profonde intimité entre la liste UNIR et les populations.

Lors des étapes à Adjéréké 1, Foukotè et Lodji, la caravane conduite par Yao Toyo, tête de liste, a été accueillie comme une famille longtemps attendue. L’ambiance, décrite comme empreinte de proximité et de confiance, a ressemblé à des retrouvailles entre partenaires d’un même projet de société, loin des simples rassemblements politiques.

L’adhésion sans réserve des populations s’est manifestée sans ambiguïté. D’une seule voix, les habitants ont réitéré leur soutien total au projet porté par l’Union pour la République.

Pour beaucoup, le choix est déjà scellé : ce sera « un vote à 100 % pour UNIR » le 17 juillet prochain. Cette fidélité s’explique, selon les communautés, par la nature même de l’équipe présentée : une équipe de proximité, à l’écoute et déterminée à porter leurs aspirations profondes.

Devant les foules mobilisées et conquises, Yao Toyo a exprimé sa reconnaissance émue pour cet engagement massif. Il a rappelé les fondamentaux de sa vision pour Ogou 1 : « La commune a toujours besoin d’une gouvernance de terrain, d’un développement qui part des réalités vécues, et d’une paix consolidée par des actes concrets comme de par le passé. » 

Ses colistiers ont abondé dans le même sens, insistant sur leur volonté de travailler main dans la main avec les habitants. Leurs priorités ? Renforcer les acquis et ouvrir de nouvelles perspectives, notamment dans l’accès aux services sociaux de base, l’emploi des jeunes et l’aménagement du territoire.

La réciprocité du lien a été soulignée par les communautés elles-mêmes. Chefs de village, groupements de femmes et représentants de la jeunesse ont pris la parole pour saluer la démarche de proximité et l’écoute attentive des candidats. Ils ont vu dans cette campagne un « retour aux sources », un dialogue authentique avec ceux qui comprennent leurs réalités quotidiennes.

Ils ont également fait le lien entre cette approche locale et la politique nationale du Président du Conseil, Faure Essozimna Gnassingbé, celle de « ne laisser personne de côté », dont ils disent percevoir les effets dans les initiatives locales soutenues précédemment.

Les attentes sont fortes : les communautés réclament une gouvernance locale ancrée dans le réel. Yao Toyo et son équipe affirment en faire leur cap absolu.

Si le verdict final s’écrira dans les urnes le 17 juillet, le message des trois localités visitées est déjà clair : à Adjéréké 1, Foukotè et Lodji, les voix convergent vers une promesse de fidélité à UNIR, avec l’ambition partagée de bâtir un avenir enraciné dans la paix et un développement véritablement inclusif.

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