Mesures spécifiques contre la vie chère et la sécurité : Environ 120 milliards de FCFA pour le bien-être des populations en 2022.

2022 tire lentement sa révérence, mais elle restera particulièrement une année d’actions prioritaires en faveur du bien-être social et de la réduction de la pauvreté au Togo.

Tel que promis, le Distingué Militant s’est engagé et investi à asseoir des actions concrètes et des mécanismes effectifs dans l’atteinte des objectifs de la feuille de route gouvernementale mais également les défis imposés à la fois par la poussée inflationniste née de l’invasion russe en Ukraine et les attaques terroristes dont le Togo est depuis novembre 2021 la cible. Des mesures dans divers secteurs qui, dans l’ensemble, ont coûté environ 120 milliards FCFA, soit à peu près 3% du Produit Intérieur Brut (PIB) estimé à plus de 4000 milliards de FCFA.

Déjà en janvier 2022, la première mesure prise par le Distingué Militant et son gouvernement est l’octroi d’une avance d’un mois de salaire remboursable par tranche mensuelle jusqu’en ce mois de décembre aux fonctionnaires des secteurs public et parapublic et aux retraités. De même pour les départs à la retraite à partir de 2020, le paiement des indemnités équivalant à trois mois de salaires est rendu effectif dès le début de l’année. Dès avril au lendemain de l’invasion russe en Ukraine et soucieux de contenir l’inflation au profit des togolais, le Chef de l’État a ordonné la subvention de plus de 12 milliards de FCFA pour le seul mois d’avril. La subvention induit à l’Etat de supporter directement le manque à gagner. A cela se sont ajoutées d’autres mesures telles que l’exonération de tous droits et taxes sur les engrais au profit des producteurs locaux, le plafonnement des prix des produits locaux et importés, la suspension de taxes de tickets de marché, le contrôle renforcé sur les tarifs réglementés et la baisse des taux d’intérêts sur tous les services du FNFI…

Mais le Distingué Militant ne s’est pas arrêté en si bon chemin. En septembre dernier, dix nouvelles mesures sont encore prises. Des transferts monétaires directs aux parents d’élèves à l’augmentation de 10% de la valeur indiciaire des salaires et pensions de retraite en passant par l’indemnité mensuelle de transport, l’État togolais devra débourser environ 87,6 milliards FCFA. Ces efforts traduits par le souci de Faure Gnassingbé d’apporter plus de bien-être aux togolais ont durement creusé le déficit budgétaire du niveau de 5% à 8% du PIB. Des mesures pour la plupart reconduites dans la loi des finances, exercice 2023 pour accompagner la résilience économique, la réduction des vulnérabilités nationales et le bien-être des populations.

Unir.tg/Togoreport

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